concernant la problématique des liaisons ADSL, un sondage
a été lancé auprès de vous, administrés de la rue de république
mais aussi auprès de l’ensemble de la population de notre commune.
Celui-ci vous demandait de tester leur ligne téléphonique,
sur deux sites indépendants d’un point de vue commercial,
afin d’analyser votre débit ADSL, en fonction des contraintes
physiques et kilométriques vous reliant à votre répartiteur distributeur.
Voici ci dessous les résultats de ce sondage.
Aux vues de celles-ci, et après analyse focalisée principalement
sur la rue de la république, nos premières conclusions sont les suivantes :
1- Les 26 réponses apportées sont représentatives de cette
rue comportant plus de 250 adresses postales et
reflètent bien la problématique en fonction des contraintes physiques
liées à la distance entre le répartiteur France Télécom et l’administré.
2- En fonction de cette distance, nous pouvons constater de façon normale,
que le taux d’affaiblissement mesuré en dB est croissant.
La courbe bleue est la fonction dB=f(Km reliant le répartiteur et l’administré),
utilisant les données brutes recensées.
La courbe verte est la courbe logarithmique de la tendance
lissant les valeurs brutes.
3- Deux types de débit ADSL ont été testés :
- Le débit ATM : débit ADSL géré par France Télécom
en amont de la DSLAM (boite de dérivation des fournisseurs
d’accès à internet autres que France Télécom)
- Le débit IP : débit ADSL géré par le fournisseur d’accès
à internet reliant la DSLAM et l’administré.
En fonction de cette distance entre le répartiteur France Télécom et
l’administré, nous pouvons constater de façon normale, que ces débits mesurés
en Kbps sont décroissants.
Il est à noter que les valeurs zéro représentent des valeurs non fournies
par l’administré concerné, lors du sondage.
Leur nombre par rapport au nombre de données brutes ne parasite pas
de façon notoire les courbes logarithmiques de tendance.
4- Trois fournisseurs d’accès à internet représentatifs ( FREE, ORANGE, SFR)
ont été analysés avec les données brutes recensées.
Suivant la distance qui sépare la DSLAM et l’administré, et en fonction
du fournisseur d’accès à internet,l’administré ne peut prétendre
qu’à un débit IP descendant variant d’environ 9500 Kbps et 550 Kbps .
Les solutions ne peuvent venir que d'une ouverture nationale à l'implantation d'une couverture "fibres optiques".
Celle-ci ne pourra être réalisée sur Clairoix que si les autorisations nationales sont données à France Télécom et si nous obtenons des subventions nécessaires.
Il est à souligner que la réfection de la rue de le République engendrera la mise en sous terrain de nouvelles lignes téléphoniques , ce qui a été estimé à environ 15% de gain en termes de débit.
